Je dois dire que le jour ou je t'ai rencontré, mon amour, j'ai plutôt été surprise. Premièrement par ta beauté. Puis par ta franchise. Le premier d'abord, bien sûr. J'ai été témoin oculaire avant de devenir témoin auditif du doux timbre de ta voix. Oui, ta voix. Ce son que je trouve si beau lorsque tu chantes et même lorsque tu parles. Ce son assez grave sans pourtant trop l'être. Enfin... mon coeur, je m'égare. J'étais restée sur ta beauté et ta franchise. Attaquons la première partie ensemble. De ta beauté, pourquoi ? Et bien... disons que beaucoup de personnes disent qu'ils ne regardent pas l'extérieur d'un corps mais avouons-nous que ces discours ne sont que tissus mensongers. Tu sais comme moi que chacun que nous sommes fait quand même attention au physique de son compagnon. Après, chaque personne est différente et a ses goûts en matière de beauté extérieur ; mais je dois dire que toi, tu m'as charmé. Dans tes yeux bruns où je me suis perdue. Dans ta chevelure châtains qui reflétaient la lumière artificielle de la salle, réfléchissant par la même occasion la brillance de mes yeux te regardant. À ce moment là, je ne savais pas encore que ces-dits cheveux étaient doux comme de soie. Mais désormais, j'en suis assez au courant. Sur ta franchise, que dire ? Je pense que tu en sais bien assez et tu es au courant que j'adore cela chez toi. Oui, en toi cela est une qualité et non un défaut. Tu portais ce jour-là un costume noir et était vêtu d'une chemise blanche assez moulante. Le tissus clair n'était point transparent mais on devinait dessous ta musculature. Oh, mon chéri, si tu savais. Cette journée a été l'une des plus belles de ma vie ; sont s'en suivies plein d'autres en ta compagnie. Comme notre premier rendez-vous. Je n'aurais jamais pensé ça de toi auparavant. En effet, malgré ton sourire charmeur, je n'avais pas pu imaginer que tu étais un grand romantique. Je revois encore cette scène dans mon esprit. Très cliché cinématographe le pique-nique dans un jardin public quasiment désert en pleine journée. De plus, tu avais sorti la nappe à carreaux rouges et blancs, accentuant cette impression. Depuis, je t'avoue que tu n'as jamais arrêté de me surprendre. Et j'attends encore de nombreuses années de surprise à tes côtés, mon amour. Alors oui, oui et oui, je veux t'épouser. De tout mon corps, de tout mon cœur et de tout mon être !

Je dois dire que le jour ou je t'ai rencontré, mon amour, j'ai plutôt été surprise. Premièrement par ta beauté. Puis par ta franchise. Le premier d'abord, bien sûr. J'ai été témoin oculaire avant de devenir témoin auditif du doux timbre de ta voix. Oui, ta voix. Ce son que je trouve si beau lorsque tu chantes et même lorsque tu parles. Ce son assez grave sans pourtant trop l'être. Enfin... mon coeur, je m'égare. J'étais restée sur ta beauté et ta franchise. Attaquons la première partie ensemble. De ta beauté, pourquoi ? Et bien... disons que beaucoup de personnes disent qu'ils ne regardent pas l'extérieur d'un corps mais avouons-nous que ces discours ne sont que tissus mensongers. Tu sais comme moi que chacun que nous sommes fait quand même attention au physique de son compagnon. Après, chaque personne est différente et a ses goûts en matière de beauté extérieur ; mais je dois dire que toi, tu m'as charmé. Dans tes yeux bruns où je me suis perdue. Dans ta chevelure châtains qui reflétaient la lumière artificielle de la salle, réfléchissant par la même occasion la brillance de mes yeux te regardant. À ce moment là, je ne savais pas encore que ces-dits cheveux étaient doux comme de soie. Mais désormais, j'en suis assez au courant. Sur ta franchise, que dire ? Je pense que tu en sais bien assez et tu es au courant que j'adore cela chez toi. Oui, en toi cela est une qualité et non un défaut. Tu portais ce jour-là un costume noir et était vêtu d'une chemise blanche assez moulante. Le tissus clair n'était point transparent mais on devinait dessous ta musculature. Oh, mon chéri, si tu savais. Cette journée a été l'une des plus belles de ma vie ; sont s'en suivies plein d'autres en ta compagnie. Comme notre premier rendez-vous. Je n'aurais jamais pensé ça de toi auparavant. En effet, malgré ton sourire charmeur, je n'avais pas pu imaginer que tu étais un grand romantique. Je revois encore cette scène dans mon esprit. Très cliché cinématographe le pique-nique dans un jardin public quasiment désert en pleine journée. De plus, tu avais sorti la nappe à carreaux rouges et blancs, accentuant cette impression. Depuis, je t'avoue que tu n'as jamais arrêté de me surprendre. Et j'attends encore de nombreuses années de surprise à tes côtés, mon amour. Alors oui, oui et oui, je veux t'épouser. De tout mon corps, de tout mon cœur et de tout mon être !